Je suis ton soleil de Marie Pavlenko

Titre: Je suis ton soleil

Auteur: Marie Pavlenko

Editions: Flammarion jeunesse

Parution: mars 2017

Nombre de pages: 462

Prix: 17,50 euros


Résumé (quatrième de couverture):

Déborah démarre son année de terminale sans une paire de chaussures, rapport à Isidore le chien-clochard qui s’acharne à les dévorer. Mais ce n’est pas le pire, non. Le pire, est-ce sa mère qui se met à découper frénétiquement des magazines ou son père au bras d’une inconnue aux longs cheveux bouclés? Le bac est en ligne de mire, et il va falloir de l’aide, des amis, du courage et beaucoup d’humour à Déborah pour percer les nuages, comme un soleil.


Mon avis:

En commençant ma lecture, je m’attendais à un roman plutôt léger, sans grand rebondissement, alors que finalement c’est tout le contraire! On suit les joies et les peines de Déborah, héroïne (et narratrice) souvent blasée mais surtout très drôle. En effet, l’humour est énormément présent dans ce récit, certains passages sont même hilarants!

Ce roman représente très justement le quotidien d’une adolescente: entre bonheur et préoccupations/tracas. Or, des thèmes importants, profonds sont également abordés avec beaucoup de finesse. Déborah nous prouve que soutenu par nos proches et avec beaucoup de recul, on peut faire face à des situations compliquées.

C’était le premier roman de Marie Pavlenko que je lisais et c’est une très bonne découverte: j’ai adoré sa plume, très fraîche à mon goût. D’ailleurs, les pâtes sur la couverture et le titre ont une valeur symbolique, vous la découvrirez si vous lisez le livre. 

Je suis ton soleil, c’est un livre bourré d’humour et de réalisme, qui nous fait aimer la vie même dans ses pires moments. Ce bouquin rend heureux! J’ai donc adoré ma lecture, je parlerai même d’un coup de cœur.

Avez-vous lu Je suis ton soleil ? Qu’est ce que vous en avez pensé? Dites le moi en commentaire!

A bientôt pour un prochain article, d’ici là je vous souhaite de bonnes lectures! 🙂

 

 

 

12 réflexions sur « Je suis ton soleil de Marie Pavlenko »

Laisser un commentaire